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 « Ch’Lanchron » c’est aussi le journal trimestriel écrit tout en picard Un « lanchron » c’est un pissenlit 35 ans de scène, 90 chansons en picard à notre répertoire Logo officiel de « Ch’Lanchron » Gadrouille est la mascotte de « Ch’Lanchron » Toute une collection de livres picards de référence À doù qu’o s’édvise in picard ? Ravisez ichi ! Quoé d’neu din « lanchron.fr » ?
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Chés « plaque-tout-seu »
Toute la série des autocollants en picard édités par Ch’Lanchron

Depuis 1980, Ch’Lanchron a porté le picard sur de nombreux supports. Aux cotés des affiches, des tampons, ou des panneaux, par exemple, les autocollants ont aussi rapidement fait partie de la « panoplie » des accessoires de promotion de la langue picarde édités par Ch’Lanchron. La plupart de ces « plaque-tout-seu » (les autocollants, selon une appellation tournaisienne adoptée en Picardie maritime, puis au-delà) sont épuisés, et deviennent désormais des pièces pour collectionneur. Seul le dernier modèle reste encore disponible. Vous pouvez l’acquérir sur ce site.

Voici la reproduction de tous chés plaque-tout-seu en picard, assortis de quelques renseignements.


Support plastique jaune, monochromie marron
(12,7 cm x 9,4 cm)
 

1981
(dessin de Jacques Dulphy)

Le premier « plaque-tout-seu »
Lafleur (le héros amiénois) lit Ch’Lanchron.
Sur la couverture figure Gadrouille, la mascotte du journal, en train de souffler sur une tête de lanchron.
Ce rectangle jaune, imprimé en sérigraphie, a fleuri sur les carosseries de voitures comme autant de pissenlits dans les patures de l’été 1981… et n’a pas défleuri pendant plusieurs années ensuite.
 


Support plastique jaune, monochromie noire
(19 cm x 6,5 cm)
 

1982
(composition de Jacques Dulphy)

Cet autocollant plus miliant, porteur simplement d’un slogan, a également été apprécié. Il a largement été distribué, parfois très loin de sa Picardie maritime natale. On l’a remarqué par exemple sur des valises en direction de Tahiti au départ de la Floride ! Le picard s’exporte…
 


Support plastique blanc, monochromie violette
(11,6 cm x 7,7 cm)
 

1983
(d’après un dessin de Jacques Dulphy)

En 1982, 1983 et 1984, « Ch’Lanchron » a organisé des rencontres autour du picard. Expositions, spectacles (théâtre, marionnettes, chanson, conte, lectures…), stages, jeux et sports, visites, rencontres, débats, venaient élargir le champ culturel autour de la langue picarde. Intitulées « Chés quate écmins » (le carrefour) ces journées picardes ont permis la rencontre de très nombreux acteurs et défenseurs du picard. Abbeville, Saint-Riquier, Ergnies ou Méneslies devenaient alors le centre de gravité de la culture de langue picarde. Tournaisiens, Cominois, Amiénois et même Wallons ou Axonnais, sont alors venus voir, lire, écouter et, bien entendu, apporter leur pierre à la construction d’une culture régionale qui se dit aussi « en picard ».

Pour la seconde édition de « Chés quate écmins », un autocollant a été offert au millier d’abonnés que comptait (déjà) le journal « Ch’Lanchron » à l’époque.
Ce modèle est certainement la pièce la plus rare de la collection des « plaque-tout-seu » !
 


Support plastique blanc, bichromie rouge et noire
(30 cm x 4,5 cm)
 

1986
(composition de Jacques Dulphy)

Second autocollant sous forme de slogan. Il était destiné aux devantures ou aux vitrines de magasins. Il s’est plus souvent affiché en bas des pare-brises de voitures.
L’insertion du « étou » (aussi) en rouge se voulait la marque d’une complémentarité du picard avec le français, en réponse à des arguments (parfois mais rarement exposés) relatifs à une culture régionale qui aurait visé à l’exclusion d’une culture « non picarde », ce qui n’a jamais été la volonté de « Ch’Lanchron », comme des autres acteurs de la culture picardisante en général.
 


Support plastique jaune, monochromie noire (ø 10 cm)
ou monochromie verte (ø 10,6 cm)
 

1989 et 1990
(logo de Jacques Dulphy et Jean-Mary Thomas)

Le logo de « Ch’Lanchron » a aussi été utilisé en « plaque-tout-seu » à deux reprises. La seconde édition (en impression verte sur fond jaune) a été offerte aux visiteurs de la fête donnée à Abbeville lors de la parution du numéro double 39-40 de la revue, qui marquait les 10 ans de « Ch’Lanchron » en mai 1990. Cette journée festive a permis à plusieurs centaines de personnes de venir à la rencontre des auteurs, des éditeurs, des associations, et évidememnt à tous de parler picard. Elle fut ponctuée de plusieurs discours en picard, dont ceux des personnalités officielles (Jacques Becq député maire d’Abbeville ; Guy Dovergne conseiller général ; Charles-Edmond Langlet, sénateur de la Somme). L’après-midi est restée gravée dans les mémoires des participants (comme dans celles de nombreux absents qui en eurent des échos par voie de presse) par le célébrissime concours d’injures en picard « Évnez atuire vo voésin » qui connut un succès inespéré, voyant s’affronter amiteusemint trois ou quatre générations de Picardisants issus de l’ensemble du Domaine linguistqiue picard pendant près de trois heures d’échanges de jurons et autres complimints d’matlot !
 


Support plastique jaune, monochromie rouge
(20 cm x 5,2 cm)
 

1992
(dessin de Jacques Dulphy)

L’affirmation pour Ch’Lanchron du caractère de journal entièrement rédigé en picard est aussi passé par la voie d’un autocollant qui représente cette fois en gros plan le personnage de Gadrouille s’exprimant dans une bulle.
Encore un « plaque-tout-seu » qui a fait plusieurs fois le tour du monde, à en croire les photographies reçues de la part de lecteurs. Un Picard (anonyme) l’aurait même « platchè » sur une porte vitrée d’un hall d’hôtel à Hong-Kong !
 


Support plastique bleu clair, monochromie bleu foncé
(20 cm x 10 cm)
 

2010
(dessin de Jean-Bernard Roussel)

Tiré à 5 000 exemplaires, le plus récent des « plaque-tout-seu » a été envoyé comme étrennes en janvier 2010 à tous les abonnés de « Ch’Lanchron ». C’est qu’ils sont désormais pas moins de 3 500 à figurer dans le fichier.
Le dicton bien connu des « trois mots picards » a habilement été détourné pour devenir un slogan positif qui incite à parler picard.
« Un cot, un tchien, éne mouque… » c’est aussi une chanson interprétée par « Ch’Lanchron » sur scène. Le numéro 113 de la revue a reproduit le texte de la chanson de Jean-Luc Vigneux. Le dessin de Jean-Bernard Roussel sert aussi de modèle au « costume » de scène lors de l’interprétation de la chanson en public.
Ce « plaque-tout-seu » est actuellement le seul qui soit disponible, si vous désirez le coller sur votre voiture.
On notera qu’après le tournant technologique des années 2000, il a semblé nécessaire à l’équipe de « Ch’Lanchron » de faire figurer son adresse courriel sur le support. C’est cette même évolution qui nous permet de présenter sur cette page l’ensemble de la collection de tous « chés plaque-tout-seu » que l’association a édités et diffusés depuis 1980.
 


Dernière mise à jour :
27-03-2013
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