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« Ch’Lanchron éch jornal picard » paraît depuis avril 1980, date de sortie de son numéro 1. À compter de 2013, une nouvelle formule de Ch’Lanchron est proposée aux lecteurs. Avant de vous la présenter, retrouvons quelques étapes « historiques » de ch’jornal picard…
La parution est trimestrielle. Le format est resté inchangé depuis les origines : 21 x 29,7 cm. Les premières feuilles étaient agrafées « à la main » à la sortie de duplicateurs à encre artisanaux. Rapidement l’impression a été confiée à un professionnel pour qu’il fournisse un travail de meilleure qualité façonné dans une reliure « cahier ». Il y eut l’imprimerie Carré (à Fressenneville) pour les numéros 3 à 6. Puis à compter du numéro 7, c’est l’imprimerie Colombel, tout d’abord installée à Amiens (boulevard des Fédérés), puis à Camon (Zone d’activités de la Blanche tâche), qui s’est vue accorder la réalisation technique du journal, toujours à partir d’une maquette fournie par l’équipe rédactionnelle de Ch’Lanchron. En 2013, avec l’arrivée d’une nouvelle formule, et la refonte de la maquette du journal, Ch’Lanchron revient sur ses terres originelles et confie son impression à Leclerc Imprimerie, dans le quartier Menchecourt d’Abbeville.
Les premiers numéros de Ch’Lanchron furent imprimés en monochromie (de couleur variable). Ils comportaient un dessin en couverture jusqu’au numéro 19 (à l’exception du numéro 10 qui a vu la première photographie à la une du journal). Le numéro 20 - celui des 5 ans - a bénéficié de la première couverture en quadrichromie. Puis des photographies en noir et blanc vinrent remplacer les dessins. Au numéro 30, symbolique d’une nouvelle dizaine révolue, une nouvelle quadrichromie fit son apparition. la série de photographies en noir et blanc se poursuivit ensuite jusqu’au numéro 38.
La maquette de présentation de Ch’Lanchron a été refondue pour marquer les 10 ans du journal. Depuis mai 1990, cette présentation s’est imposée, avec quelques variations, selon l’inspiration du moment, qui ont néamoins toujours conservé le lettrage du titre, et l’inscription manuscrite du sous-titre (graphie due à l’artiste abbevillois Bernard Sodoyez). À partir de ce double numéro « 39-40 » de 1990, toutes les couvertures ont alors été composées en quadrichromie.
Chaque numéro a comporté 44 pages , jusqu’au n° 128. Il est arrivé que le nombre de pages soit augmenté, quand le journal comptait un dossier ou un document inhabituel. Puis, l’habitude a été prise tout doucement de proposer aux lecteurs des numéros thématiques, qui sont rapidement devenus des numéros doubles de 80 pages ou davantage. On a même vu arriver un triple numéro « 98-99-100 » pour ponctuer l’anniversaire des 25 ans de la revue, ou une série de trois numéros doubles d’affilée (du n°115 au n°120 inclus) pour annoncer et marquer dignement les 30 ans de Ch’Lanchron en mai 2010.
Ces numéros « extraordinaires » sont affichés ici, mais leur contenu spécial et leurs sous jaquettes internes sont présentés plus spécifiquement sur la page des numéros thématiques de Ch’Lanchron.
À partir du n° 129 (publié en mars 2013), le trimestriel paraît régulièrement (en janvier, avril, juillet et octobre) avec une pagination revue (16 pages en couleurs) dans une nouvelle maquette typographique. Il est accompagné en fin d’année de l’édition d’un livre (de 80 à 140 pages environ) qui est également adressé aux abonnés.
Ch’Lanchron apporte ainsi son lot de surprises et de littérature picarde cinq fois par an. La meilleure façon de n’en pas manquer une page… c’est de vous y abonner !
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